Il est des semaines qui commencent sous le soleil, pleines de sourires et de promesses, où l'on avance d'un pas confiant et serein. Des semaines qui scintillent, qui sentent bon l'épanouissement des êtres chéris.
Mais les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Les choses prennent subitement une tournure des plus inattendue, absurde, tellement folle qu'elle vous laisse sans voix, sans force. La déconfiture totale.
Il faut, à nouveau, remuer ciel et terre, retourner au combat pour ouvrir les esprits étriqués confortablement installés dans leur routine rassurante, faire bouger les montagnes, sensibiliser, expliquer, négocier, marchander... quelle mascarade ! Des mois et des mois d'effort, de méticuleuse préparation, un chemin soigneusement tracé, des choix réfléchis, motivés et approuvés, aujourd'hui plus que remis en question.
Et au milieu, un enfant qui ne saisit plus, qui ne sait plus où est sa place (ni s'il a une place), un enfant qui se retrouve sur le banc de touche pour des raisons inacceptables, un enfant en souffrance.
Heureusement, ce week end a été une merveilleuse bulle de douceur, simplement partagé à quatre, nous quatre, comme pour évacuer la noirceur de cet univers qui tourne bien trop souvent à l'envers. Et pour finir en couleur ces doux instants, histoire de chasser la morosité qui ne demande qu'à s'installer, je vous offre quelques fleurs en souhaitant à chacun d'entre vous une belle belle belle soirée.
Et au milieu, un enfant qui ne saisit plus, qui ne sait plus où est sa place (ni s'il a une place), un enfant qui se retrouve sur le banc de touche pour des raisons inacceptables, un enfant en souffrance.
Heureusement, ce week end a été une merveilleuse bulle de douceur, simplement partagé à quatre, nous quatre, comme pour évacuer la noirceur de cet univers qui tourne bien trop souvent à l'envers. Et pour finir en couleur ces doux instants, histoire de chasser la morosité qui ne demande qu'à s'installer, je vous offre quelques fleurs en souhaitant à chacun d'entre vous une belle belle belle soirée.
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Vinciane, j'ai un peu trop peur de comprendre!!Mon dieu si l'éducation nationale pouvait enfin se mettre au diapason des grandes avancée sientifique, médicale et paramédical qu'est ce qu'on gagnerait comme temps, comme énergie et comme confiance en soi!!!On a parfois, à certain endroit l'impression d'être au moyen âge!!Une pensée très sincère à votre garçon, qu'il garde confiance, chacun trouve son chemin, même en circulant au milieu d'un tas d'abrutis! (pour être polie!)Accrochez vous!A bientôt.
RépondreSupprimerPfff... Comme d'habitude c'est du n'importe quoi ! Comment peut-on être méchant avec un enfant, le faire sentir différent... Plein de bises ♥
RépondreSupprimerJe ne saisis pas tout ..... juste qu'un de tes fils est en souffrance ... et je t'embrasse juste en te souhaitant le courage nécessaire pour l'aider à surmonter cela ....
RépondreSupprimerje pense à toi à vos difficultés...plein de bises affectueuses
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